Inde du Sud
Partez pour un voyage en immersion en Inde du Sud ! Le Karnataka, terre mystérieuse et ancien État de Mysore, (littéralement la "Terre élevée"), nous dévoile sa culture plurimillénaire. Le Kerala, terre d'hospitalité naturelle où les liens qui unissent les hommes à la nature n'ont jamais cessé d'exister. Au cœur des plantations, la sérénité est de mise. Un lieu idéal pour profiter des traditions ancestrales, symboles de la sagesse indienne, yoga, médecine et massages ayurvédiques...
Conseils d'expert
• Pour saluer quelqu'un, il est recommandé de joindre les mains et dire "Namaskara" (au lieu de serrer la main). Il est préférable de ne pas avoir un contact physique avec le sexe opposé. Le contact avec les enfants est très bien accepté.
• La nourriture ne se pose pas sur la table. Il faut la mettre dans l'assiette. Seule la main droite doit être utilisée pour manger et l’exercice n’est pas toujours commode !
Nos voyageurs
témoignent
Au Karnataka, le climat étant assez tempéré (proche du climat provençal en automne et au printemps), la meilleure période est de juillet à avril. Le temps y est plutôt sec (sauf en période de mousson entre juin et août), frais la nuit en hiver, autour de 15 à 20° le jour, doux la nuit et chaud le jour (jusqu’à 35°) en août et septembre.
Au Kerala, la meilleure période est de novembre à mars : le climat est tropical (moussons de juin à fin septembre), avec une pluviométrie élevée (végétation luxuriante) et des températures comprises entre 20 et 30° en hiver.
Le sous-continent indien est le berceau des activités de Rencontres au bout du monde et, de fait, notre terre de prédilection.
Tout a commencé dès le milieu des années 70, par des premiers contacts pris au Ladakh (Himalaya indien) par Alain Gandolfi (juriste, professeur de droit international à l'université d'Aix en Provence, ancien Administrateur Général de la France d'Outre-Mer en Afrique), devenu lors de la création de Rencontres au bout du monde membre d'honneur de l'association.
Patrick Wasserman, futur fondateur de Rencontres au bout du monde, a rencontré Alain en 1978, et entendu parlé pour la première fois du Zanskar, une sous-région du Ladakh isolée du reste du monde 8mois de l'année, alors qu'Alain y préparait une expédition hivernale inédite pour un occidental.
Il aura fallu attendre 1996 pour que Patrick se rende pour la première fois au Zanskar, voyage au cours duquel il a pu mesurer les déséquilibres locaux provoqués par le tourisme d'aventure "conventionnel" sur les populations locales et leur environnement.
Dès 1998, l'idée de proposer des séjours alternatifs basés sur le respect de l'humain, la rencontre, l'inter-culturalité, est née dans les esprits, pour aboutir, en janvier 2000 à la création de Rencontres au bout du monde, et à un premier départ de groupe au Zanskar en août 2000, suivi de nombreux autres depuis, en été comme en hiver.
Parallèlement, dès 1999, des contacts ont été pris au Rajasthan, première destination du tourisme en Inde, où, avec de grandes difficultés dues à la forte implantation du tourisme de masse dans cette région, nous avons pu rencontrer des organisation non-gouvernementales locales qui, comme nous, considéraient que la rencontre inter-culturelle pouvait, au delà de l'apport matériel, représenter un véritable levier d'émancipation, d'autonomisation, et de développement local.
Neuf années de travail autont été nécessaires pour aboutir en 2007/2008 à la création d'un réseau de familles d'accueil en zones rurales et désertiques dans les régions du Shekhawati et du Désert de Thar, et à la création de séjours inédits au Rajasthan. Ces séjours ont rencontré depuis un grand succès auprès du public.
De la même manière, l'idée d'organiser des séjours en Inde du Sud (Karnataka et Kerala) nous a menés à contacter les organisations avec lesquelles nous travaillons aujourd'hui dans cette partie du sous-continent.
Réfection des toitures du Suryodaya Boys Center
Social
Réparation des toitures des quatre maisons du « Suryodaya boys Center ».
Le centre Suryodaya a été fondé par la Congrégation Somascan en 1998. Il se consacre à la prise en charge d’enfants (garçons orphelins et garçons issus des foyers brisés). Depuis 2009, les voyageurs de Rencontres au bout du monde séjournent quelques nuits dans ce centre.
Le Supérieur de Suryodaya a fait une demande de fonds pour réparer les toitures des quatre maisons où sont hébergés les enfants.
Les toitures étaient en très mauvais état (grosses fissures ouvertes), les fuites à travers ces toitures ont causé des dégâts énormes : enduits au plâtre, circuit électrique, peintures,… Pendant la mousson, l’eau de pluie traversait le plafond et causait des chocs électriques dangereux pour les occupants.
Rencontres au bout du monde a commencé par le financement de l’une des quatre maisons.
Participation Rencontres au bout du monde : 1 440 € // Partenaires : Suryodaya boys center // Supervision : Force Vitale